Au coin de la rue, l'aventure
Photo: Helene Bamberger/Gamma /Ponopresse
Il y a un article qui n’en est pas un dans le Voir cette semaine. Ce pourrait être une page de blogue. Un journaliste qui n’est pas en service, - sans crayon, sans papier, sans magnéto - se trouve près d’un parc et aperçoit Leonard Cohen qui habite à côté. Le journaliste le salue sans plus et va s’asseoir à un banc dans le parc, accompagné de son Labrador. Leonard Cohen vient s’asseoir à côté de lui et se présente : “Hi, my name is Leonard”. L’autre de répondre : oui je sais. Je vous connais. Je suis même allé chez vous il y a un dizaine d’années, etc.
Puis la conversation se déroule entre les deux, assis sur ce banc, parlant de la chienne, du disque qu’il vient de produire avec Anjani, sa choriste et maintenant copine. À lire pour l’atmosphère.
Midi, au parc
François Desmeules
Voir
Jeudi 25 mai 2006
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Cela justement me convie à revenir à la ville. Ces rencontres fortuites je connais. Ce sont souvent de beaux moments qui durent plus que l'espace d'une rencontre. Ce que je perds en quiétude, en retraite, en silence, j'espère le gagner en ce contraire-là
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