Si c'est pluvieux, ce ne sera pas plus jeune
C'est la boutade que j'ai lancé hier pour expliquer l'absence des jeunes aux travaux d'aménagement du parc Walter-Mackenzie ici à Scotstown. Nous étions donc à peu de choses près que des adultes sous la pluie. C'est que les jeunes ont la chair tendre qui pourrait fondre sous la pluie...
Voilà un autre bon moyen de m'impliquer dans la communauté où je suis. Ce samedi matin, je suis donc allé rejoindre une quinzaine de citoyens en vue d'aménager le petit parc près de la rivière. Avec deux autres hommes, parfois 4 et 5, nous nous sommes concentrés à un îlot de verdure à créer à l'entrée du parc. Il s'agissait de créer une clôture de grosses pierre qui en fait le pourtour. Nous avons dû travailler sous la pluie toute la matinée, ce qui est tout de même un défi en soi pour des bénévoles... Mais le résultat est là.
Les femmes plantaient des arbustes et des fleurs sur les différentes plates-bandes créées quelques jours auparavant. Plus loin on a créé un joli chemin en pente avec de la roche, des traverses de chemin de fer et de la terre.
◊ ◊ ◊
Ce matin j'ai écouté l'émission Pourquoi pas dimanche de Joël Le Bigot et son équipe. On a parlé du Bill of Rights britannique qui date de plus de 400 ans. Intéressant. Il s'agissait aussi de parler des derniers Start de la Couronne britannique.
Jean Fugère s'est entretenu par téléphone avec Benoîte Groult qui a publié La Touche étoile, chez Grasset et qui en s'est vendu à plus de 120 000 exemplaires jusqu'à maintenant. Elle y explore les liens intergénérationnels notamment, sujet qui me préoccupe moi aussi.
Et Philippe Frey, auteur de Nomades - Rencontres avec les hommes du désert paru récemment aux éditions Robert Laffont, a longuement parlé de son expérience des déserts avec Joël Le Bigot.
Photo: Michel Leclerc
Hier nous apprenions qu'en ce début d'hiver, il continue de pleuvoir en Artarctique, ce qui n'est guère rassurant pour notre climat. L'équipe du Sedna souffre du manque de soleil aussi, avec une journée de 4h41 de clarté et aucun rayon qui ne descent jusqu'à eux.
Faute – pour le moment – d'avoir des expériences palpitantes, je me contente bien de connaître celles des autres et d'y trouver bien des sources d'inspiration. D'ailleurs, peut-être cet été mais plus sûrement l'automne prochain, je vais tenter des expériences de lecture à voix haute en groupe, à partir de livres comme ceux-là notamment. Cela pourrait être fort intéressant avec musiques appropriées en arrière-plan, du bruitage, des projections d'images, etc. Bien entendu, c'est le genre de chose à faire à la ville plutôt que dans un bled de 650 habitants. Mais, comme je ne retournerai pas à la ville, je me contenterai des quelques personnes qui se pointeront
Voilà un autre bon moyen de m'impliquer dans la communauté où je suis. Ce samedi matin, je suis donc allé rejoindre une quinzaine de citoyens en vue d'aménager le petit parc près de la rivière. Avec deux autres hommes, parfois 4 et 5, nous nous sommes concentrés à un îlot de verdure à créer à l'entrée du parc. Il s'agissait de créer une clôture de grosses pierre qui en fait le pourtour. Nous avons dû travailler sous la pluie toute la matinée, ce qui est tout de même un défi en soi pour des bénévoles... Mais le résultat est là.
Les femmes plantaient des arbustes et des fleurs sur les différentes plates-bandes créées quelques jours auparavant. Plus loin on a créé un joli chemin en pente avec de la roche, des traverses de chemin de fer et de la terre.
Ce matin j'ai écouté l'émission Pourquoi pas dimanche de Joël Le Bigot et son équipe. On a parlé du Bill of Rights britannique qui date de plus de 400 ans. Intéressant. Il s'agissait aussi de parler des derniers Start de la Couronne britannique.
Jean Fugère s'est entretenu par téléphone avec Benoîte Groult qui a publié La Touche étoile, chez Grasset et qui en s'est vendu à plus de 120 000 exemplaires jusqu'à maintenant. Elle y explore les liens intergénérationnels notamment, sujet qui me préoccupe moi aussi.
Et Philippe Frey, auteur de Nomades - Rencontres avec les hommes du désert paru récemment aux éditions Robert Laffont, a longuement parlé de son expérience des déserts avec Joël Le Bigot.
Photo: Michel Leclerc
Hier nous apprenions qu'en ce début d'hiver, il continue de pleuvoir en Artarctique, ce qui n'est guère rassurant pour notre climat. L'équipe du Sedna souffre du manque de soleil aussi, avec une journée de 4h41 de clarté et aucun rayon qui ne descent jusqu'à eux.
Faute – pour le moment – d'avoir des expériences palpitantes, je me contente bien de connaître celles des autres et d'y trouver bien des sources d'inspiration. D'ailleurs, peut-être cet été mais plus sûrement l'automne prochain, je vais tenter des expériences de lecture à voix haute en groupe, à partir de livres comme ceux-là notamment. Cela pourrait être fort intéressant avec musiques appropriées en arrière-plan, du bruitage, des projections d'images, etc. Bien entendu, c'est le genre de chose à faire à la ville plutôt que dans un bled de 650 habitants. Mais, comme je ne retournerai pas à la ville, je me contenterai des quelques personnes qui se pointeront
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