Le génie de David Irvine-Halliday
et de David Green.
et de David Green.
David Irvine-Halliday, fondateur de Light Up the World avec le docteur Hashim Nazarwal à Kandahar, en janvier 2006.
Photo fournie par David I-H.
David Green avait mis au point un procédé d'éclairage aux diodes dans les années 90, combiné avec des piles et des panneaux solaires. A l'époque la diode avait dépassé le stade d'éclairage de calculatrices et autres affichages du genre pour passer d'un lumen par watt à cinq! Aujourd'hui son entreprise Carmanah rejoint toutes les infrastructures urbaines de la planète... sauf ici bien évidemment.
David Irvine-Halliday prof. de physique à l'université de Calgary se promenait au Népal. Il entendit des enfants réciter leurs leçons à haute voix dans une école et s'est rendu compte qu'il faisait très sombre dans les classes. Lui est alors venu l'idée de trouver un éclairage peu chère pour le tiers monde.
Diodes alimentées par piles et panneaux solaires: 60 dollars, garanti de 20 ans.
La rencontre de David Green de Victoria et David Irvine-Halliday de Calgary allait permettre à l'idée de voir le jour. Ils ont réussi à créer des diodes qui donnent une lumière blanche et qui peut donner jusqu'à 25 lumens par watts, ce qui est une avancé extraordinaire. Ainsi est né Light Up the World qui pour 60 dollars canadiens fournit un éclairage aux maisons du tiers monde qui vont cesser de dépendre du coûteux kérosène, qui est une des grandes sources d'émissions de gaz à effet de serre dans le tiers monde, la lampe à l'huile constituant encore pour la majorité des terriens, le seul éclairage possible.
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Il y a sept ans – SEPT ANS – j'avais pris contact avec les ingénieurs de la Ville de Montréal avec l'intention d'aller de l'avant avec un concept d'éclairage autonome des signalisations de stationnement pour l'hiver. A cette époque, incapable de s'entendre avec Hydro-Québec qui chargeait pour chaque signalisation électrique de stationnement le prix d'une installation électrique commerciale, la Ville avait été dans l'obligation d'enlever ses milliers de signalisations lumineuses, une tragédie si l'on considère que cette signalisation en soi avait été en son temps une avancé astucieuse. Encore une fois, Hydro-Québec démontrait son ineptie.
J'avais pris contact avec les gens de Carmanah à Victoria et j'étais prêt à organiser des conférences en vue de l'installation d'un projet-pilote d'éclairage aux diodes alimentés par une combinaison pile/panneau solaire, comme nouveau type d'éclairage des panneaux de signalisation déjà installés, afin d'éviter cette catastrophe. D'autres villes ont bougé sur ce plan. A la Ville de Montréal, comme j'aurais dû m'y attendre on m'avait répondu que c'était impossible dans une longue lettre: « si ça existait, ça se saurait ». Pas étonnant que le logo de la Ville de Montréal soit celui d'une compagnie de nouilles opérant à Hong Kong...
Maintenant, ce dont nous pouvons être assuré, c'est que tout le tiers monde sera éclairé au solaire avant qu'Hydro-Québec ou la Ville de Montréal ou qui que ce soit au Québec qui ait un poste de décision sorte de sa torpeur de fat cat à 100 000 $ par année. Une autre bonne raison de ne plus y être.
David Irvine-Halliday prof. de physique à l'université de Calgary se promenait au Népal. Il entendit des enfants réciter leurs leçons à haute voix dans une école et s'est rendu compte qu'il faisait très sombre dans les classes. Lui est alors venu l'idée de trouver un éclairage peu chère pour le tiers monde.
Diodes alimentées par piles et panneaux solaires: 60 dollars, garanti de 20 ans.
La rencontre de David Green de Victoria et David Irvine-Halliday de Calgary allait permettre à l'idée de voir le jour. Ils ont réussi à créer des diodes qui donnent une lumière blanche et qui peut donner jusqu'à 25 lumens par watts, ce qui est une avancé extraordinaire. Ainsi est né Light Up the World qui pour 60 dollars canadiens fournit un éclairage aux maisons du tiers monde qui vont cesser de dépendre du coûteux kérosène, qui est une des grandes sources d'émissions de gaz à effet de serre dans le tiers monde, la lampe à l'huile constituant encore pour la majorité des terriens, le seul éclairage possible.
Il y a sept ans – SEPT ANS – j'avais pris contact avec les ingénieurs de la Ville de Montréal avec l'intention d'aller de l'avant avec un concept d'éclairage autonome des signalisations de stationnement pour l'hiver. A cette époque, incapable de s'entendre avec Hydro-Québec qui chargeait pour chaque signalisation électrique de stationnement le prix d'une installation électrique commerciale, la Ville avait été dans l'obligation d'enlever ses milliers de signalisations lumineuses, une tragédie si l'on considère que cette signalisation en soi avait été en son temps une avancé astucieuse. Encore une fois, Hydro-Québec démontrait son ineptie.
J'avais pris contact avec les gens de Carmanah à Victoria et j'étais prêt à organiser des conférences en vue de l'installation d'un projet-pilote d'éclairage aux diodes alimentés par une combinaison pile/panneau solaire, comme nouveau type d'éclairage des panneaux de signalisation déjà installés, afin d'éviter cette catastrophe. D'autres villes ont bougé sur ce plan. A la Ville de Montréal, comme j'aurais dû m'y attendre on m'avait répondu que c'était impossible dans une longue lettre: « si ça existait, ça se saurait ». Pas étonnant que le logo de la Ville de Montréal soit celui d'une compagnie de nouilles opérant à Hong Kong...
Maintenant, ce dont nous pouvons être assuré, c'est que tout le tiers monde sera éclairé au solaire avant qu'Hydro-Québec ou la Ville de Montréal ou qui que ce soit au Québec qui ait un poste de décision sorte de sa torpeur de fat cat à 100 000 $ par année. Une autre bonne raison de ne plus y être.
Modèle américain récent d'un camion de routier tout éclairé aux diodes, ce soir à la Patrie.
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