Aperçu du chantier
Lundi 1er août, 16h45
Décidément, nous avons un été fantastique! Il ne pleut finalement que rarement et c'est tant mieux pour moi qui travaille sur une toiture de tôle avec un appareillage minimale: une échelle que je me suis fabriqué et parfois une corde pour m'attacher, si je juge les inclinaisons de la toiture un peu risqué. Par contre le soleil tape parfois un peu trop là-haut et je suffoque. Il faut alors que je m'arrête et redescendre sur la terre ferme car je pourrais cuire des œufs sur le toit.
Toiture sur laquelle je travaille. Photo prise avant le début des travaux
J'ai décidé de faire tous les jours les 40 km aller-retour à vélo dans des côtes pas piquées des vers, car j'ai essayé de faire du pouce une journée de beau temps, depuis le carrefour de la 212 et de la 257. Comme cela n'a pas marché, je me suis dit que je n'aillais pas attendre éternellement au soleil qu'un bon samaritain s'arrête pour me prendre. Et puis c'est un super exercice.
J'arrive bien évidemment un peu essouflé car le dernier tronçon de route pour ND des Bois est particulièrement pénible. Je dois faire la dernière côte à pied, tout comme la première en sortant du village de La Patrie. C'est une côte de 2 km avec une bonne élévation. Par contre, le soir c'est vraiment la côte que j'adore descendre...
Étant donné que je me tape déjà plus de deux heures de route matin et soir, je ne travaille certainement pas à temps plein. Tout au plus 5 heures par jour. C'est cool avec les proprios. Je ne suis pas au fouet m-a-t'on dit.
Décidément, nous avons un été fantastique! Il ne pleut finalement que rarement et c'est tant mieux pour moi qui travaille sur une toiture de tôle avec un appareillage minimale: une échelle que je me suis fabriqué et parfois une corde pour m'attacher, si je juge les inclinaisons de la toiture un peu risqué. Par contre le soleil tape parfois un peu trop là-haut et je suffoque. Il faut alors que je m'arrête et redescendre sur la terre ferme car je pourrais cuire des œufs sur le toit.
Toiture sur laquelle je travaille. Photo prise avant le début des travaux
J'ai décidé de faire tous les jours les 40 km aller-retour à vélo dans des côtes pas piquées des vers, car j'ai essayé de faire du pouce une journée de beau temps, depuis le carrefour de la 212 et de la 257. Comme cela n'a pas marché, je me suis dit que je n'aillais pas attendre éternellement au soleil qu'un bon samaritain s'arrête pour me prendre. Et puis c'est un super exercice.
J'arrive bien évidemment un peu essouflé car le dernier tronçon de route pour ND des Bois est particulièrement pénible. Je dois faire la dernière côte à pied, tout comme la première en sortant du village de La Patrie. C'est une côte de 2 km avec une bonne élévation. Par contre, le soir c'est vraiment la côte que j'adore descendre...
Étant donné que je me tape déjà plus de deux heures de route matin et soir, je ne travaille certainement pas à temps plein. Tout au plus 5 heures par jour. C'est cool avec les proprios. Je ne suis pas au fouet m-a-t'on dit.
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