Pour tout dire
Jeu de couleurs d'un clic involontaire
Mercredi 19 octobre
Pourquoi diable suis-je venu m'installer ici? Simple, j'en avais marre de la ville. Pour moi vivre en ville et particulièrement à Montréal était devenu un cauchemar. Beaucoup des repères qui faisaient partie de mon quotidien disparaissaient, dont la forêt derrière chez moi. L'augmentation du traffic automobile, le bruit qui en est conséquent, les gens qui crient dans leurs portables, les coûts sans cesse croissant de tout rendait ma vie insupportable. Je n'avais aucune envie d'être fonceur dans cet univers.
Bien qu'ici ce ne soit pas le paradis, j'ai à tout le moins perdu un élément important qui totalisait tous les griefs envers la ville. J'ai nommé le stress. Je ne vois pas la nécessité de toujours être stressé. Je n'en vois pas l'intérêt non plus.
Ici je peux minimaliser mon existence comme je le souhaite sans que cela ne provoque d'émoi, ou de dédain. Je peux consacrer mon temps à des étapes de la création sans avoir à toujours penser au fin de mois, aux tracas de l'argent tout le temps. Je vis comme je vivais jusqu'à il y a une dizaines d'années à Montréal, mode de vie qui n'est désormais plus possible de maintenir là-bas. Je reviendrai sur le sujet.
Pourquoi diable suis-je venu m'installer ici? Simple, j'en avais marre de la ville. Pour moi vivre en ville et particulièrement à Montréal était devenu un cauchemar. Beaucoup des repères qui faisaient partie de mon quotidien disparaissaient, dont la forêt derrière chez moi. L'augmentation du traffic automobile, le bruit qui en est conséquent, les gens qui crient dans leurs portables, les coûts sans cesse croissant de tout rendait ma vie insupportable. Je n'avais aucune envie d'être fonceur dans cet univers.
Bien qu'ici ce ne soit pas le paradis, j'ai à tout le moins perdu un élément important qui totalisait tous les griefs envers la ville. J'ai nommé le stress. Je ne vois pas la nécessité de toujours être stressé. Je n'en vois pas l'intérêt non plus.
Ici je peux minimaliser mon existence comme je le souhaite sans que cela ne provoque d'émoi, ou de dédain. Je peux consacrer mon temps à des étapes de la création sans avoir à toujours penser au fin de mois, aux tracas de l'argent tout le temps. Je vis comme je vivais jusqu'à il y a une dizaines d'années à Montréal, mode de vie qui n'est désormais plus possible de maintenir là-bas. Je reviendrai sur le sujet.
1 Comments:
Allo Moine.. tiens c'est drôle j'étais revenue sur ton blog et pourtant n'y avais pas vu de nouveau... peut-être mon raccourci était sur un billet en particulier... aaaaw et c'est maintenant que je vois toutes ces nouvelles photos... depuis août!!! Bises!!!
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